Où se situe la frontière entre une écologie moralisatrice et culpabilisante et une écologie qui aurait pour but de transformer la société mais qui resterait AU SERVICE  des hommes et femmes qui la constituent. Repenser l’écologie de manière plus sociale et sociétale paraît s’imposer; ce n’est pas une affaire de clivage entre urbains et ruraux, mais bien plutôt un challenge citoyen à co-construire ensemble.

Il paraît plus que nécessaire de bâtir une société preneuse de transformations profondes qui rendent la vie plus « vivable » et structurante, mais qui conserverait également les moyens de développer une paix sociale, une vie sereine et joyeuse fondée sur la justice et la capacité de se ré-inventer !